Des rapports indiquent que des truffes noires ont également été trouvées dans d'autres parties du monde, par exemple aux États-Unis et en Australie. Chêne vert destiné à la production de truffes noires Truffe noire du Périgord Périgord. Jeune plant truffier de chêne vert (Quercus ilex) mycorhizé tuber melanosporum. Plant de chêne truffier âgé de 1 à 3 ans, de production française et de qualité certifiée sous contrôle de l'INRAE. Qualité des morceaux : truffes fendues dont seule une partie peut être commercialisée fraîche. Ce qui fait rire en sa bouche fait souvent pitié sur le papier, et l’on peut dire que ses comédies ressemblent à ces femmes qui font peur en déshabillé, et qui ne laissent pas de plaire quand elles sont ajustées, ou à ces petites tailles qui, ayant quitté leurs patins, ne sont plus qu’une partie d’elles-mêmes. L’amour enfant, Blanche, celui qui vit de jeux et de ris ; mais le grand amour, celui qui unit les êtres d’un nœud forgé par Dieu même, d’où naissent des êtres nouveaux ; l’amour sans lequel l’humanité ne serait qu’une agglomération d’égoïsmes, ou qu’un cercle d’étrangers ; cette loi qui force l’être le plus dur à se nourrir de lait et de caresses et à rendre à son tour à un autre les mêmes tendresses ; les mêmes soins, qui nous unit par les noms de frère, de sœur, de mère, de fils, d’amant, le grand amour, l’âme de ce monde, c’est à la mort que nous le devons, puisqu’elle nécessite la naissance ; et voilà pourquoi je bénis et adore la mort comme la plus puissante des lois de la vie.
Par moments elle devenait blanche, comme si tout son sang l’avait quittée ; et à d’autres, un épuisement suprême, la fin de ses dernières forces, donnait à son corps vaincu, à sa tête presque mourante sur son épaule, l’affaissement d’une personne qui va s’évanouir. Il devrait, enfin, rentrer en lui-même, et considérer qu’il est très-dangereux de se jouer de Dieu ; que l’impiété ne demeure jamais impunie, et que, si elle échappe parfois aux feux de la terre, elle ne peut éviter ceux du ciel. Ce serait trahir visiblement la cause du ciel dans une occasion où sa gloire est ouvertement attaquée, où la foi est exposée aux insultes d’un bouffon qui fait commerce de ses mystères, et en profane la sainteté ; qui foudroie et renverse tous les fondements de la religion à la face du Louvre, dans la maison d’un prince chrétien, à la vue de tant de sages magistrats si zélés pour la cause de Dieu, en dérision de tant de bons pasteurs que l’on fait passer pour des Tartufes ! Songez seulement si vous oseriez soutenir à la face du ciel des pièces où la vertu et ta piété sont toujours ridicules, la corruption toujours excusée et toujours plaisante !
Il ne doit point abuser de la bonté d’un grand prince, ni de la piété d’une reine si religieuse, à qui il est à charge, et dont il se fait gloire de choquer les sentiments. » Si cet auteur n’eût joué que les précieuses, et s’il n’en eût voulu qu’aux pourpoints et aux grands canons, il ne mériterait pas une censure publique et ne se serait pas attiré l’indignation de toutes les personnes de piété. « On n’en veut point à sa personne, mais à celle de son athée ; l’on ne porte point envie à son gain ni à sa réputation ; ce n’est point un sentiment particulier, c’est celui de tous les gens de bien, et il ne doit pas trouver mauvais que l’on défende ouvertement les intérêts de Dieu ; qu’il attaque ouvertement, et qu’un chrétien témoigne de la douleur en voyant le théâtre révolté contre l’autel, la farce aux prises avec l’Évangile, un comédien qui se joue des mystères et qui fait raillerie de tout ce qu’il y a de plus saint et de plus sacré dans la religion !
Après avoir répandu dans les âmes ces poisons funestes qui étouffent la pudeur et la honte, après avoir pris soin de former des coquettes, et de donner aux filles des instructions dangereuses, après des écoles fameuses d’impureté, il en a tenu d’autres pour le libertinage ; et, voyant qu’il choquait toute la religion, et que tous les gens de bien lui seraient contraires, il a composé son Tartufe, et a voulu rendre les dévots des ridicules et des hypocrites. « Un autre défaut de Molière que beaucoup de gens d’esprit lui pardonnent, et que je n’ai garde de lui pardonner, moi, c’est qu’il a donné un tour gracieux au vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu ! Si le véritable but de la comédie est de corriger les hommes en les divertissant, le dessein de Molière est de les perdre en les faisant rire. « J’espère ; dit le critique, que Molière recevra ces observations d’autant plus volontiers, que la passion et l’intérêt n’y ont point de part : je n’ai point dessein de lui nuire ; je veux le servir, au contraire. De même que ces serpents dont les piqûres mortelles répandent une fausse joie sur la figure de ceux qui en sont atteints, organe du démon, il corrompt les mœurs ; il tourne en ridicule le paradis et l’enfer ; il décrie la religion, sous le nom d’hypocrisie ; il prend Dieu à partie, et se fait gloire de son impiété à la face de tout un peuple !